► ———-Observations sur le guide de l’OPPBTP par Charles LANZA
(Technicien et formateur IRATA 3/i et CQP Cordiste – Membre de jury CQP Cordiste) – Télécharger le PDF
►————————– Communiqué du Syndicat Solidarité Cordistes : COVID-19 – Conditions de reprise des chantiers de travaux sur cordes – Télécharger le PDF
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Communiqué de l’association en réaction au guide de l’OPPBTP Télécharger en PDF
Suite aux propos quelque peu cavaliers de Mr Luc Boisnard (patron de Ouest-Acro), des cordistes en colère et solidaires bretons vous proposent ce sondage :
En plein confinement.
En pleine récession économique.
En pleine dérive liberticide, nous avons réussi ce tour de force :
ré-imprimer « Chroniques sur cordes ».
Après la rupture de la première édition, il est de nouveau disponible.
Pour vous accompagner dans votre assignation à résidence.
Les livraisons reprennent.
Nos opérateurs sont sur le pied de guerre, avec toutes les précautions qui s’imposent, bien-sûr.
Rassurez-vous, nous ne prônons par autant la reprise du travail.
Ils ne sont pas payés.
Nous avons lu avec intérêt l’article du 2 mars 2020, intitulé « Nouvelles technologies, les cordistes accrochent. », publié par Construction Cayola. Il donne la parole de manière unilatérale à des entrepreneurs de travaux en hauteur. Oubliant au passage ceux qui tous les jours sur les chantiers font la richesse de ce métier. Et accessoirement celle de leurs employeurs. A savoir les ouvriers cordistes. Pourtant le Groupe Cayola connaît l’existence de l’association. En novembre 2019, nous avons été contactés par une journaliste du groupe. Nous avions alors décliné l’invitation à un débat contradictoire filmé, arguant du peu de garantie d’objectivité dans le montage final. La tonalité du présent article nous donne rétrospectivement raison. On ne peut pas se présenter journaliste et s’affranchir des règles et de la déontologie du métier.Continuer la lecture de « PRESSE PATRONALE – Réactions aux propos tendancieux parus dans Construction Cayola »
« Pas toujours facile de compter sur la rigueur de certaines entreprises peu regardantes sur les équipements des jeunes en formation. Ceux-ci se voient proposer des équipements réglementés mais les refusent pour pouvoir exploiter leur propre matériel moyennant une prime d’usure. » .
«Seule la vingtaine d’entreprises membres du SFETH respecte la réglementation, lâche, lapidaire, Luc Boisnard, fondateur et PDG de Ouest Acro. Les autres s’affranchissent de la législation.» . Luc BOISNARD (PDG de Ouest-Acro) .
« Dû à son passé d’alpiniste saisonnier, le cordiste a la velléité de travailler de façon très autonome, avec un choix totalement libre de statut. De micro-entrepreneur à salarié, en passant par l’intérimaire, ces contrats aux formats diversifiés représentent une complication administrative » . Laurent ELLES (président d’Acrotir)
Le vendredi 21 février, nous étions cinq cordistes et une collègue vidéaste à faire le tour de quelques employeurs de la région de Marseille. Cinq cordistes du groupe marseillais de l’association Cordistes en colère, Cordistes solidaires. Cinq cordistes à avoir pris un jour de congé pour l’occasion. Et l’occasion en valait la peine… L’idée principale était de faire suite au courrier de rappel des obligations employeurs envoyé massivement début février. Un courrier qui venait rappeler les obligations en termes de fourniture des EPI et de paiement des indemnités de grand déplacement (IGD).