L’audience du 4 octobre 2019 au TGI de Reims devait permettre de juger les responsabilités dans l’accident de travail qui, le 21 juin 2017, coûta la vie à Quentin Zaraoui-Bruat, un jeune cordiste de 21 ans.
Lors de cette audience, seule l’entreprise de Travaux en Hauteur (ETH) a été jugée. Le parquet de Reims ayant blanchi par avance la société CRISTANOL, celle-ci n’aura pas eu à comparaître.
Pour les familles et collègues cordistes, cette audience laisse un goût amer.
Un sentiment de parodie de justice.
Un goût de justice de classe.