À la suite de notre publication du 31 mars 2020 intitulée Presse patronale, les propos tendancieux des certains membres du SFETH, Monsieur Luc Boisnard sollicite un droit de réponse.
Nous lui accordons volontiers.
Nul n’était besoin de nous menacer de poursuites judiciaires tant nous sommes attachés à la liberté d’expression des uns et des autres. Et pour une fois qu’un silence méprisant ne nous est pas opposé !
Nous laissons donc au jugement de chacun l’intégralité des propos de Luc Boisnard dans le texte. Soulignant juste sa persistance à affirmer que « seule la vingtaine d’entreprises membres du SFETH respectent la réglementation… les autres s’affranchissent de la législation. »
Les « autres » apprécieront.
Peut-être des droits de réponse au droit de réponse en perspective…